Tout d’abord, nous avons l’histoire d’un didgeridoo trouvé dans les poubelles par l’animateur. Sachant qu’un jeune souhaitait se lancer dans la pratique de cet instrument. Il décida de le ramener à la condition de le retaper, ce qui ne fut pas chose facile.
Pour réparer un didgeridoo, il faut d’abord entièrement le poncer à la main (pas à la machine car les vibrations pourraient élargir les fissures présentes) afin de voir exactement les dégâts.
Ensuite, avec la sciure produite par le ponçage, on fabrique un mastic en mélangeant la sciure à la colle à bois. Une fois le mélange appliqué, il faut laisser sécher puis se remettre à poncer le surplus.
Une fois la réparation effectué, on peut refaire une décoration et vernir l’intérieur afin d’obtenir une meilleure sonorité.
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Ensuite nous avons l’histoire d’un grand miroir cassé échoué le long d’une route sur un vide-ordure. Comme les demoiselles de l’accueil se plaignaient de ne pouvoir se contempler par manque de miroir, l’animateur a ramené celui-là. Les jeunes se sont alors demandé ce que nous allions faire de ces débris. L’idée était de finaliser sa destruction afin de pouvoir créer un miroir reconstitué. Tout d’abord perplexe sur la finalité de la réalisation, ils ont tout de même tenté l’expérience.
Équipé de ses gants de protection, je vous présente l’installation et Grégory le maitre d’œuvre du chantier.
À force, les jeunes commencent à comprendre qu’avec de l’imagination et la volonté de recyclé, on peut arriver à faire des choses pour pas un sous (ou presque).
